Ascension du Mont-Blanc

Tramway du Mont-Blanc

Le départ du tramway du Mont-Blanc se situe à Saint Gervais. Le parcours dure alors plus d'une heure. Lorsque l'on part de Chamonix, on le prend à la gare de Bellevue (ici à l'image) et il reste 20 minutes de trajets jusqu'au Nid d'Aigle.

Nid d'Aigle.

Terminus du train, le Nid d'Aigle marque le départ de l'ascension à 2390 mètres d'altitude. Tout près de là, le glacier de Bionnassay.

Nid d'Aigle.

Début de la montée au refuge de Tête Rousse. Avec toujours en toile de fond, l'aiguille et le glacier de Bionnassay.

Tête Rousse

La montée au refuge de Tête Rousse se fait dans un décor de pierres, irréel et très dépaysant.

Les Rognes

Après une heure de marche, on arrive au plat des Rognes. Le refuge de Tête Rousse (invisible) se trouve en haut du névé, celui du Goûter est visible tout en haut à gauche de l'image.

Tête Rousse

Après les Rognes, le chemin se fait plus escarpé, le vide commence à se faire sentir.

Tête Rousse

3000 mètres d'altitude, Chamonix commence à être bien bas, le refuge de Tête Rousse est proche.

Refuge de Tête Rousse

3167 m. Après 2 heures et demi de marche, nous y voilà. IL ne reste qu'à traverser le petit glacier, parfois les crampons s'imposent.

Refuge de Tête Rousse

C'est la première soirée lors d'une ascension en trois jours.

Refuge de Tête Rousse

Et l'on profite d'un super coucher de soleil.

Aiguille du Goûter

L'Aiguille du Goûter, au programme du lendemain. Au sommet, les deux refuges: à gauche, l'ancien, à droite, l'actuel.

Aiguille du Goûter

Après Tête Rousse, on rentre dans le domaine de la haute montagne et, n'ayons pas peur des mots, de l'alpinisme. Ces deux images ont été prises à quelques jours d'intervalles et en plein été... il faut savoir s'adapter

Grand couloir

Pour accéder à l'arête qui mène au refuge du Goûter, il faut d'abord traverser le grand couloir, appelé aussi couloir de la mort à cause de son exposition aux chutes de pierres. Il est ici tout en neige.

Grand couloir

Il est ici partiellement enneigé. Attention, dans ces cas à la glace qui apparait. La chute ici est tout aussi dangereuse qu'une chute de pierres.

Grand couloir

Dans ce cas là, il est totalement sec. C'est comme un gros éboulis. Il faut quand même bien s'assurer qu'il n'y ait pas de glace sur la trace.

Aiguille du Goûter

Cette image et les 9 suivantes, montrent la variété des passages sur l'arête de l'Aiguille du Goûter. Il faut souvent faire de l'escalade, un câble est présent dans les passages les plus difficiles. Ici crampons aux pieds.

Aiguille du Goûter

Ici sans crampons

Aiguille du Goûter

Pas vraiment une rando

Aiguille du Goûter

Ambiance parfois hivernale même en plein mois de juillet.

Aiguille du Goûter

Ancien refuge du Goûter

Après 2 heures 30 de grimpe et 700 mètres de dénivelé depuis le refuge de Tête Rousse, on arrive à l'ancien refuge du Goûter à plus de 3800 mètres d'altitude. Il faut souvent remettre les crampons.

Refuge du Goûter

Changement complet d'ambiance et de paysage sur le sommet de l'aiguille du Goûter et les 300 mètres d'arête qui mènent au refuge. La suite est à gauche, sur les pentes du Dôme du Goûter. La trace est bien visible sur la photo.

Refuge du Goûter

La très moderne et fonctionnelle architecture du refuge du Goûter. L'Aiguille de Bionnassay est maintenant à peine plus haute que nous.

refuge du Goûter

La salle commune du refuge du Goûter, propre et confortable.

Refuge du Goûter

Situé plein ouest, les coucher de soleil les soirs de beau temps, laissent un souvenir inoubliable.

Refuge du Goûter

2 h 30 : c'est l'heure du départ, à la lumière des lampes frontales, et parfois de la lune.

Dôme du Goûter

Prises de jour, cette photo et la suivante, montrent la relative "facilité technique" de cette partie de l'itinéraire.

Dôme du Goûter

Mais au-dessus des 4000, marcher en montée , ce n'est déjà plus très facile.

Mont-Blanc

Après 1 heure 30 de marche depuis le refuge du Goûter, on arrive au sommet du Dôme du goûter à 4300 m. On peut enfin voir le Mont-Blanc et tout ce qu'il reste encore à gravir.

Mont-Blanc

La dernière partie de l'ascension: l'Arête des Bosses qui commence au refuge Vallot (celui du haut. Au milieu se sont les WC et en bas, c'est l'observatoire)

Abri vallot

Lors d'une ascension classique en 2 jours, on passe à l'abri Vallot, 4362m, aux premières lumières du jour. C'est l'heure où il peut faire très froid. Il reste deux heures de marche jusqu'au sommet.

Abri Vallot

L'abri Vallot de jour, lorsque l'on fait l'ascension en 3 jours.

Observatoire Vallot

L'observatoire du CNRS est fermé au public.

1ère bosse.

Ascension de la 1ère bosse de l'arête des ... Bosses. C'est la plus raide.

1ère bosse.

Ascension de la 1ère bosse, sous le regard de la lune.

Arête des Bosses

La suite de l'arête après la deuxième bosses: la "Mauvaise arête", les rochers de la Tournette et l'arête terminale

Lever de soleil.

Il est possible de synchroniser l'arrivée au sommet avec le lever du soleil. Ce n'est pas facile ni forcément possible: en début d'été, le soleil se levant très tôt, il faudrait partir avant le petit déjeuner...Pas grave, le spectacle est là.